Pierre NADON dit LETOURNEAU
#8521
Père* | Jean NADON dit LETOURNEAU n. v 1665 |
Mère* | Catherine BARON n. v 1669 |
Grand-père à la 9e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER |
Pierre NADON dit LETOURNEAU, né vers 1690 à St-Pierre, Saintonge, France.1 Il épousa Catherine LABELLE, la fille de Guillaume LABELLE et Anne CHARBONNEAU, le 26 avril 1711 à Ile Jésus, Montréal, QC, Canada.1
Famille | Catherine LABELLE n. 5 juil 1692 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Catherine LABELLE
#8522
Père* | Guillaume LABELLE n. v 1650, d. 1 jan 1710 |
Mère* | Anne CHARBONNEAU n. v 1657, d. 11 avr 1729 |
Grand-mère à la 9e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER |
Catherine LABELLE, née le 5 juillet 1692 à Ile Jésus, Montréal, QC, Canada.1 Elle épousa Pierre NADON dit LETOURNEAU, le fils de Jean NADON dit LETOURNEAU et Catherine BARON, le 26 avril 1711 à Montréal, QC.1
Famille | Pierre NADON dit LETOURNEAU n. v 1690 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Jean NADON dit LETOURNEAU
#8523
Grand-père à la 10e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER |
Jean NADON dit LETOURNEAU, né vers 1665 à St-Pierre, Saintonge, France.1 Il épousa Catherine BARON vers 1688 à France.1
Famille | Catherine BARON n. v 1669 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Catherine BARON
#8524
Grand-mère à la 10e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER |
Catherine BARON, née vers 1669 à France.1 Elle épousa Jean NADON dit LETOURNEAU vers 1688 à France.1
Famille | Jean NADON dit LETOURNEAU n. v 1665 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Guillaume LABELLE
#8525
Père* | Jean LABELLE n. v 1625 |
Mère* | Marie LOUE n. v 1629 |
Grand-père à la 10e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER |
Guillaume LABELLE, né vers 1650 à St-Eloi, Normandie, France.1 Il épousa Anne CHARBONNEAU, la fille de Olivier CHARBONNEAU et Marie GARNIER, le 23 novembre 1671 à Montréal, QC, Canada.1 Il est décédé le 1 janvier 1710 à Pointe-aux-Trembles, Montréal, QC, Canada.1
Famille | Anne CHARBONNEAU n. v 1657, d. 11 avr 1729 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Anne CHARBONNEAU
#8526
Père* | Olivier CHARBONNEAU n. v 1607 |
Mère* | Marie GARNIER n. v 1622 |
Grand-mère à la 10e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER |
Anne CHARBONNEAU, née vers 1657 à La Rochelle, Aunis, France.1 Elle épousa Guillaume LABELLE, le fils de Jean LABELLE et Marie LOUE, le 23 novembre 1671 à Montréal, QC, Canada.1 Elle est décédée le 11 avril 1729 à St-François-Ile-Jésus, Montréal, QC, Canada.1
Famille | Guillaume LABELLE n. v 1650, d. 1 jan 1710 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Jean LABELLE
#8527
Grand-père à la 11e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER |
Famille | Marie LOUE n. v 1629 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Marie LOUE
#8528
Grand-mère à la 11e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER |
Famille | Jean LABELLE n. v 1625 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Etienne MESNY
#8529
Père* | Jean MESNY |
Mère* | Marie CANE |
Grand-père à la 10e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER |
Etienne MESNY, né vers 1646 à Dieppe, Normandie, France.1 Il épousa Catherine LAINE, la fille de Jean LAINE et Marie RENAULT, le 23 novembre 1671 à Ste-Famille, QC, Canada.1 Il est décédé le 28 septembre 1693 à Québec, QC, Canada.1
Famille | Catherine LAINE n. fév 1654 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté), Page 801.
Catherine LAINE
#8530
Père* | Jean LAINE |
Mère* | Marie RENAULT |
Grand-mère à la 10e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER |
Catherine LAINE, née en février 1654 à Rouen, Normandie, France,1 et a été baptisée le 6 février 1654 à Ste-Croix, Rouen, Normandie, France.1 Elle épousa Etienne MESNY, le fils de Jean MESNY et Marie CANE, le 23 novembre 1671 à Ste-Famille, QC, Canada.1
Famille | Etienne MESNY n. v 1646, d. 28 sept 1693 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté), Page 801.
Gilles FOURNIER
#8531
Relations | Grand-père à la 11e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-père à la 11e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Gilles FOURNIER est décédé à France.1 Il, né vers 1595 à France.1 Il épousa Noëlle GAGNON (GAGEUT) vers 1620 à France.1
Famille | Noëlle GAGNON (GAGEUT) n. v 1599 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Noëlle GAGNON (GAGEUT)
#8532
Relations | Grand-mère à la 11e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-mère à la 11e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Noëlle GAGNON (GAGEUT) est décédée à France.1 Elle, née vers 1599 à France.1 Elle épousa Gilles FOURNIER vers 1620 à France.1
Famille | Gilles FOURNIER n. v 1595 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Guillaume HEBERT
#8533
Père* | Louis HEBERT n. v 1575, d. 23 jan 1627 |
Mère* | Marie ROLLET n. v 1579 |
Relations | Grand-père à la 11e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-père à la 11e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Guillaume HEBERT, né vers 1610 à Paris, France.1 Il épousa Hélène DESPORTES, la fille de Pierre DESPORTES et Françoise LANGLOIS, le 1 octobre 1634 à Québec, QC, Canada.1 Il est décédé le 23 septembre 1639 à Québec, QC.1
Famille | Hélène DESPORTES n. 7 juil 1620, d. 24 juin 1675 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Hélène DESPORTES
#8534
Père* | Pierre DESPORTES n. v 1599, d. a 1629 |
Mère* | Françoise LANGLOIS n. v 1600, d. a 1629 |
Relations | Grand-mère à la 11e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-mère à la 10e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Hélène DESPORTES, née le 7 juillet 1620 à Québec, QC, Canada.1 Elle épousa Guillaume HEBERT, le fils de Louis HEBERT et Marie ROLLET, le 1 octobre 1634 à Québec, QC.1 Elle épousa Noel MORIN, le fils de Claude MORIN et Jeanne MOREAU, le 9 janvier 1640 à Québec, QC.1 Elle est décédée le 24 juin 1675 à Québec, QC, à l'âge de 54.1
Famille 1 | Guillaume HEBERT n. v 1610, d. 23 sept 1639 |
Enfant |
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Famille 2 | Noel MORIN n. v 1606, d. 10 fév 1680 |
Enfants |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Louis HEBERT
#8535
Père* | Nicolas HERBERT n. v 1550 |
Mère* | Jacqueline PAJOT n. v 1555 |
Relations | Grand-père à la 12e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-père à la 12e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Louis HEBERT, né vers 1575 à Paris, France.1 Il épousa Marie ROLLET vers 1602 à Paris.1 Il est décédé le 23 janvier 1627 à Québec, QC, Canada.1
BIOGRAPHIE DE LOUIS HÉBERT (1575-1627) : apothicaire, premier officier de justice en Nouvelle-France, premier colon canadien à tirer sa subsistance lui-même du sol, marié à Marie Rollet, né à Paris en 1575 mort à Québec au mois de janvier 1627.
D’après son descendant, Couillard-Després, il était le fils d’un Louis Hébert qui était apothicaire à la cour de Catherine de Médicis. Des documents, découverts plus récemment à Paris, indiquent que son père était Nicolas Hébert, apothicaire, et que Louis est né au Mortier d’Or, maison située près du Louvre. La nièce de la femme de Nicolas Hébert épousa Jean de Biencourt de Poutrincourt, en 1590. Cette parenté expliquerait l’intérêt que Louis Hébert avait à l’égard des premiers établissements en Acadie et sa présence dans l’expédition de Du Gua de Monts.
Lescarbot, qui se trouvait à Port-Royal en 1606, parle avec respect de son talent de guérisseur et du plaisir qu’il trouvait à cultiver la terre, et il indique, sur sa carte de la région, une île et une rivière qui portent le nom d’Hébert. À l’été de 1606, Hébert accompagna Champlain et Poutrincourt le long de la côte, vers le Sud-Ouest, à la recherche d’autres emplacements propices à la colonisation. Poutrincourt et Hébert furent à ce point enchantés par ce qui est maintenant Gloucester, dans le Massachusetts, qu’ils y firent une petite plantation afin d’éprouver la fertilité du sol. L’un et l’autre voulaient venir s’établir avec leurs familles au Nouveau Monde. Hébert montra au cours de ce voyage que, bien que désireux de se livrer à des occupations pacifiques, il pouvait agir promptement et avec courage en cas d’urgence. Avec Champlain, Poutrincourt et plusieurs autres, il sauta presque nu dans une petite embarcation, au milieu de la nuit, en réponse aux cris frénétiques de quelques téméraires qui, restés sur le rivage malgré des ordres sévères, étaient attaqués par des Indiens. Le Jonas, venu de France en juin 1607, était porteur de mauvaises nouvelles : les concessions accordées à de Monts ayant été annulées, la compagnie devait rentrer en France.
En 1610, Hébert se retrouve à Port-Royal avec le groupe que Poutrincourt espère y établir. En tant qu’apothicaire, il soigne les Blancs et les Indiens. Il s’occupe, semble-t-il, des aliments et des médicaments ; il prépare et administre les uns et les autres au chef Membertou pendant la dernière maladie de ce dernier. Hébert dirige l’établissement en 1613, lorsque René Le Coq de La Saussaye arrive avec les colons de la marquise de Guercheville, retire les deux Jésuites de Port-Royal et s’en va fonder un nouvel établissement ailleurs. Mais lui et ses compagnons sont faits prisonniers par les Anglais à l’île des Monts-Déserts, cet été-là, et peu après Port-Royal est détruit (novembre 1613). Une fois de plus Hébert est contraint de retourner en France.
À l’hiver de 1616–1617, il renoue connaissance avec Champlain qui est à Paris e quête d’appuis pour sa colonie de Québec. Comme ce poste subsiste depuis neuf ans, Hébert y voit sans doute un lieu de colonisation sûr, étant donné surtout que Champlain lui a obtenu un contrat favorable de la compagnie de traite des fourrures qui a la haute main sur la région du Saint-Laurent. Confiant en ces promesses, – 200 couronnes par an pour ses services comme apothicaire, ainsi que le gîte et la nourriture pour lui et sa famille pendant la période du défrichage, – Hébert vend sa maison et son jardin à Paris et emmène sa femme, Marie Rollet, et ses trois enfants, Anne, Guillemette et Guillaume, à Honfleur où ils se préparent à s’embarquer. Une fois là, il constate que la compagnie n’a nullement l’intention de faire honneur à ses engagements. Il doit se contenter d’un nouveau contrat qui réduit de moitié son salaire et ses concessions et stipule que les membres de sa famille et son serviteur seront au service de la compagnie sans rémunération. N’ayant pas de choix, il accepte et part avec sa famille le 11 mars 1617.
À Québec, son talent d’apothicaire et sa petite provision de grain furent une bénédiction pour les colons malades et affamés. Bien que lui et ses serviteurs dussent consacrer une grande partie de leur temps à la compagnie, il réussit à défricher et à planter une certaine étendue de terre. Pendant le court séjour que Champlain fit à la colonie en 1618, il y trouva des terres « semées de beau grain » et des jardins où poussaient toutes sortes de légumes.
Pendant bien des années Hébert fut le seul, outre Champlain lui-même, à cultiver la terre. La compagnie fit tout ce qu’elle put pour le détourner de l’agriculture. Champlain et Sagard disent tous deux que les restrictions imposées illégalement par la compagnie à l’activité d’Hébert et à l’écoulement de ses produits l’empêchèrent de jouir du fruit de son labeur.
Lorsque, en 1620, Champlain revint de France muni d’un mandat qui, en principe, lui donnait pleine autorité sur la colonie, il confia à Hébert l’administration de la justice en le nommant procureur du roi. C’est à ce titre que celui-ci signa la pétition adressée au roi par la colonie en 1621. Hébert jouissait en outre de la confiance des Indiens que, contrairement à une foule de ses contemporains, il considérait comme des êtres humains et intelligents, qu’il suffisait de former. Les exemples sont nombreux de leur respect et de leur affection pour lui. Il est aussi question de relations commerciales entre Hébert et Guillaume de Caën mais, puisque le nom d’Hébert est très répandu, il se peut qu’il s’agisse d’une erreur d’identité.
En 1622, il demandait au vice-roi, par pétition, que la propriété de ses terres lui fut reconnue, ce qui fut fait le 4 février 1623. Connus plus tard sous le nom de fief du Sault-au-Matelot, ces terrains comprenaient l’emplacement actuel de la basilique, du séminaire, ainsi que des rues Hébert et Couillard. Le titre de propriété fut ratifié le 28 février 1626 par le successeur du vice-roi, et l’on ajouta quelques acres en bordure de la rivière Saint-Charles, – le fief Saint-Joseph, plus tard connu sous le nom de fief de Lespinay, – le tout devant être détenu en fief noble.
Hébert avait réalisé son rêve le plus cher, celui de posséder suffisamment de ces terres vierges du Nouveau Monde pour vivre avec sa famille dans l’indépendance. Les prés en bordure de la rivière Saint-Charles offraient les pâturages nécessaires à ses bovins ; les terres plus hautes logeaient ses champs de céréales, les jardins potagers et un verger planté de pommiers apportés de Normandie. Hébert avait exécuté tous ces travaux malgré l’opposition de la compagnie. De plus, il les avait exécutés au moyen d’outils manuels, puisqu’il n’avait même pas de charrue. (Ce n’est qu’un an après la mort d’Hébert qu’on put commencer à travailler la terre, à une plus grande échelle, au moyen d’une charrue tirée par des bœufs.)A l’hiver de 1626, Hébert fit sur la glace une chute mortelle. Il fut inhumé le 25 janvier 1627 dans le cimetière des Récollets. En 1678, ses restes, toujours dans son cercueil de cèdre, furent transportés dans le caveau de la chapelle des Récollets, nouvellement construite ; avec ceux du frère Pacifique Duplessis, ils furent les premiers à y reposer.
Mon Lien à Louis Hébert :
13e Génération - Louis Hébert (1575-1627) m. Marie Rollet (1580-1649)
12e Génération - Guillaume Hébert (c1610-1639) m. Hélène Desportes (1620-1675)
11e Génération - Françoise Hébert (1638-1716) m. Guillaume Fournier ( c1623-1699)
10e Génération - Madeleine Fournier (c1675- ) m. Pierre Laporte dit St-Georges (c1685- )
9e Génération - Joseph Cécile Laport dit St-Georges (c1707- ) m. Angélique Nadon (c1713- )
8e Génération - Amable Amanda Laporte dit St-Georges (c1737- ) m. Guillaume Gravelle (c1730- )
7e Génération - Judith Gravelle (c1764- ) m. Augustin Dazé (1755- )
6e Génération - Joseph Dazé (1800- ) m. Marguerite Taillon (1800- )
5e Génération - Hortense Dazé (1823- ) m. Charles Clusiau (1804- )
4e Génération - Joseph Jean Clusiau (c1850- ) m. Aurélie Galipeau (c1845- )
3e Génération - Fidélia Clusiau (1886-1852) m. Agibe Caudille Achille Chénier (1883-1949)
2e Génération - Magella Albert Isidore Chénier (1912-1981) m. Violet Ethel Smith (1918-1986)
1ere Génération - Théodore Gilbert Ronald Chénier (1943- ) m. Linda Vivienne Abbott (1947-.2 )
BIOGRAPHIE DE LOUIS HÉBERT (1575-1627) : apothicaire, premier officier de justice en Nouvelle-France, premier colon canadien à tirer sa subsistance lui-même du sol, marié à Marie Rollet, né à Paris en 1575 mort à Québec au mois de janvier 1627.
D’après son descendant, Couillard-Després, il était le fils d’un Louis Hébert qui était apothicaire à la cour de Catherine de Médicis. Des documents, découverts plus récemment à Paris, indiquent que son père était Nicolas Hébert, apothicaire, et que Louis est né au Mortier d’Or, maison située près du Louvre. La nièce de la femme de Nicolas Hébert épousa Jean de Biencourt de Poutrincourt, en 1590. Cette parenté expliquerait l’intérêt que Louis Hébert avait à l’égard des premiers établissements en Acadie et sa présence dans l’expédition de Du Gua de Monts.
Lescarbot, qui se trouvait à Port-Royal en 1606, parle avec respect de son talent de guérisseur et du plaisir qu’il trouvait à cultiver la terre, et il indique, sur sa carte de la région, une île et une rivière qui portent le nom d’Hébert. À l’été de 1606, Hébert accompagna Champlain et Poutrincourt le long de la côte, vers le Sud-Ouest, à la recherche d’autres emplacements propices à la colonisation. Poutrincourt et Hébert furent à ce point enchantés par ce qui est maintenant Gloucester, dans le Massachusetts, qu’ils y firent une petite plantation afin d’éprouver la fertilité du sol. L’un et l’autre voulaient venir s’établir avec leurs familles au Nouveau Monde. Hébert montra au cours de ce voyage que, bien que désireux de se livrer à des occupations pacifiques, il pouvait agir promptement et avec courage en cas d’urgence. Avec Champlain, Poutrincourt et plusieurs autres, il sauta presque nu dans une petite embarcation, au milieu de la nuit, en réponse aux cris frénétiques de quelques téméraires qui, restés sur le rivage malgré des ordres sévères, étaient attaqués par des Indiens. Le Jonas, venu de France en juin 1607, était porteur de mauvaises nouvelles : les concessions accordées à de Monts ayant été annulées, la compagnie devait rentrer en France.
En 1610, Hébert se retrouve à Port-Royal avec le groupe que Poutrincourt espère y établir. En tant qu’apothicaire, il soigne les Blancs et les Indiens. Il s’occupe, semble-t-il, des aliments et des médicaments ; il prépare et administre les uns et les autres au chef Membertou pendant la dernière maladie de ce dernier. Hébert dirige l’établissement en 1613, lorsque René Le Coq de La Saussaye arrive avec les colons de la marquise de Guercheville, retire les deux Jésuites de Port-Royal et s’en va fonder un nouvel établissement ailleurs. Mais lui et ses compagnons sont faits prisonniers par les Anglais à l’île des Monts-Déserts, cet été-là, et peu après Port-Royal est détruit (novembre 1613). Une fois de plus Hébert est contraint de retourner en France.
À l’hiver de 1616–1617, il renoue connaissance avec Champlain qui est à Paris e quête d’appuis pour sa colonie de Québec. Comme ce poste subsiste depuis neuf ans, Hébert y voit sans doute un lieu de colonisation sûr, étant donné surtout que Champlain lui a obtenu un contrat favorable de la compagnie de traite des fourrures qui a la haute main sur la région du Saint-Laurent. Confiant en ces promesses, – 200 couronnes par an pour ses services comme apothicaire, ainsi que le gîte et la nourriture pour lui et sa famille pendant la période du défrichage, – Hébert vend sa maison et son jardin à Paris et emmène sa femme, Marie Rollet, et ses trois enfants, Anne, Guillemette et Guillaume, à Honfleur où ils se préparent à s’embarquer. Une fois là, il constate que la compagnie n’a nullement l’intention de faire honneur à ses engagements. Il doit se contenter d’un nouveau contrat qui réduit de moitié son salaire et ses concessions et stipule que les membres de sa famille et son serviteur seront au service de la compagnie sans rémunération. N’ayant pas de choix, il accepte et part avec sa famille le 11 mars 1617.
À Québec, son talent d’apothicaire et sa petite provision de grain furent une bénédiction pour les colons malades et affamés. Bien que lui et ses serviteurs dussent consacrer une grande partie de leur temps à la compagnie, il réussit à défricher et à planter une certaine étendue de terre. Pendant le court séjour que Champlain fit à la colonie en 1618, il y trouva des terres « semées de beau grain » et des jardins où poussaient toutes sortes de légumes.
Pendant bien des années Hébert fut le seul, outre Champlain lui-même, à cultiver la terre. La compagnie fit tout ce qu’elle put pour le détourner de l’agriculture. Champlain et Sagard disent tous deux que les restrictions imposées illégalement par la compagnie à l’activité d’Hébert et à l’écoulement de ses produits l’empêchèrent de jouir du fruit de son labeur.
Lorsque, en 1620, Champlain revint de France muni d’un mandat qui, en principe, lui donnait pleine autorité sur la colonie, il confia à Hébert l’administration de la justice en le nommant procureur du roi. C’est à ce titre que celui-ci signa la pétition adressée au roi par la colonie en 1621. Hébert jouissait en outre de la confiance des Indiens que, contrairement à une foule de ses contemporains, il considérait comme des êtres humains et intelligents, qu’il suffisait de former. Les exemples sont nombreux de leur respect et de leur affection pour lui. Il est aussi question de relations commerciales entre Hébert et Guillaume de Caën mais, puisque le nom d’Hébert est très répandu, il se peut qu’il s’agisse d’une erreur d’identité.
En 1622, il demandait au vice-roi, par pétition, que la propriété de ses terres lui fut reconnue, ce qui fut fait le 4 février 1623. Connus plus tard sous le nom de fief du Sault-au-Matelot, ces terrains comprenaient l’emplacement actuel de la basilique, du séminaire, ainsi que des rues Hébert et Couillard. Le titre de propriété fut ratifié le 28 février 1626 par le successeur du vice-roi, et l’on ajouta quelques acres en bordure de la rivière Saint-Charles, – le fief Saint-Joseph, plus tard connu sous le nom de fief de Lespinay, – le tout devant être détenu en fief noble.
Hébert avait réalisé son rêve le plus cher, celui de posséder suffisamment de ces terres vierges du Nouveau Monde pour vivre avec sa famille dans l’indépendance. Les prés en bordure de la rivière Saint-Charles offraient les pâturages nécessaires à ses bovins ; les terres plus hautes logeaient ses champs de céréales, les jardins potagers et un verger planté de pommiers apportés de Normandie. Hébert avait exécuté tous ces travaux malgré l’opposition de la compagnie. De plus, il les avait exécutés au moyen d’outils manuels, puisqu’il n’avait même pas de charrue. (Ce n’est qu’un an après la mort d’Hébert qu’on put commencer à travailler la terre, à une plus grande échelle, au moyen d’une charrue tirée par des bœufs.)A l’hiver de 1626, Hébert fit sur la glace une chute mortelle. Il fut inhumé le 25 janvier 1627 dans le cimetière des Récollets. En 1678, ses restes, toujours dans son cercueil de cèdre, furent transportés dans le caveau de la chapelle des Récollets, nouvellement construite ; avec ceux du frère Pacifique Duplessis, ils furent les premiers à y reposer.
Mon Lien à Louis Hébert :
13e Génération - Louis Hébert (1575-1627) m. Marie Rollet (1580-1649)
12e Génération - Guillaume Hébert (c1610-1639) m. Hélène Desportes (1620-1675)
11e Génération - Françoise Hébert (1638-1716) m. Guillaume Fournier ( c1623-1699)
10e Génération - Madeleine Fournier (c1675- ) m. Pierre Laporte dit St-Georges (c1685- )
9e Génération - Joseph Cécile Laport dit St-Georges (c1707- ) m. Angélique Nadon (c1713- )
8e Génération - Amable Amanda Laporte dit St-Georges (c1737- ) m. Guillaume Gravelle (c1730- )
7e Génération - Judith Gravelle (c1764- ) m. Augustin Dazé (1755- )
6e Génération - Joseph Dazé (1800- ) m. Marguerite Taillon (1800- )
5e Génération - Hortense Dazé (1823- ) m. Charles Clusiau (1804- )
4e Génération - Joseph Jean Clusiau (c1850- ) m. Aurélie Galipeau (c1845- )
3e Génération - Fidélia Clusiau (1886-1852) m. Agibe Caudille Achille Chénier (1883-1949)
2e Génération - Magella Albert Isidore Chénier (1912-1981) m. Violet Ethel Smith (1918-1986)
1ere Génération - Théodore Gilbert Ronald Chénier (1943- ) m. Linda Vivienne Abbott (1947-.2 )
Famille | Marie ROLLET n. v 1579 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
- [S1323] Website - Quebec Roots - Louis Hébert, online https://quebecroots.wordpress.com/2008/07/06/louis-hebert/ & http://www.biographi.ca/fr/bio/hebert_louis_1E.html, Louis Hébert Biography.
Marie ROLLET
#8536
Relations | Grand-mère à la 12e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-mère à la 12e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Marie ROLLET, née vers 1579 à Paris, France.1 Elle épousa Louis HEBERT, le fils de Nicolas HERBERT et Jacqueline PAJOT, vers 1602 à Paris.1
Famille | Louis HEBERT n. v 1575, d. 23 jan 1627 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Nicolas HERBERT
#8537
Relations | Grand-père à la 13e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-père à la 13e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Famille | Jacqueline PAJOT n. v 1555 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Jacqueline PAJOT
#8538
Relations | Grand-mère à la 13e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-mère à la 13e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Famille | Nicolas HERBERT n. v 1550 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Pierre DESPORTES
#8539
Relations | Grand-père à la 12e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-père à la 11e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Pierre DESPORTES, né vers 1599 à Lisieux, Normandie, France.1 Il épousa Françoise LANGLOIS avant 1620 à France.1 Il est décédé après 1629 à France.1
Famille | Françoise LANGLOIS n. v 1600, d. a 1629 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Françoise LANGLOIS
#8540
Relations | Grand-mère à la 12e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-mère à la 11e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Françoise LANGLOIS, née vers 1600 à France.1 Elle épousa Pierre DESPORTES avant 1620 à France.1 Elle est décédée après 1629 à France.1
Famille | Pierre DESPORTES n. v 1599, d. a 1629 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Pierre BOUCHER dit DESROCHES
#8541
Père* | François BOUCHER n. 22 nov 1617, d. v 1675 |
Mère* | Florence GAREMAN n. 1629, d. v 1689 |
Relations | Grand-père à la 9e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-père à la 8e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Pierre BOUCHER dit DESROCHES, né le 29 septembre 1648 à Sillery, QC, Canada.1 Il épousa Hélène GAUDRY, la fille de Nicolas GAUDRY dit BOURDONNIERE et Agnès MORIN, le 13 décembre 1671 à Sillery, QC.1 Il est décédé le 10 mars 1702 à Québec, QC, Canada, à l'âge de 53.1
Famille | Hélène GAUDRY n. 5 mars 1656, d. 22 nov 1712 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Hélène GAUDRY
#8542
Père* | Nicolas GAUDRY dit BOURDONNIERE n. v 1622, d. 22 juin 1669 |
Mère* | Agnès MORIN n. 21 jan 1641 |
Relations | Grand-mère à la 9e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-mère à la 8e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Hélène GAUDRY, née le 5 mars 1656 à Québec, QC, Canada.1 Elle épousa Pierre BOUCHER dit DESROCHES, le fils de François BOUCHER et Florence GAREMAN, le 13 décembre 1671 à Sillery, QC, Canada.1 Elle est décédée le 22 novembre 1712 à St-Nicolas, QC, Canada, à l'âge de 56.1
Famille | Pierre BOUCHER dit DESROCHES n. 29 sept 1648, d. 10 mars 1702 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
François BOUCHER
#8543
Père* | Marin BOUCHER n. v 1588, d. 25 mars 1671 |
Mère* | Julienne BARIL n. v 1590, d. 15 déc 1627 |
Relations | Grand-père à la 10e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-père à la 9e génération de André Côme Alfred CHENIER |
François BOUCHER, né le 22 novembre 1617 à St-Langis-les-Mortagne, Perche, France.1 Il épousa Florence GAREMAN, la fille de Pierre GAREMAN dit LEPICARD et Madeleine CHARLOT, le 3 septembre 1641 à Québec, QC, Canada.1 Il est décédé vers 1675 à Sillery, QC, Canada.1
Famille | Florence GAREMAN n. 1629, d. v 1689 |
Enfants |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Florence GAREMAN
#8544
Père* | Pierre GAREMAN dit LEPICARD n. v 1600 |
Mère* | Madeleine CHARLOT n. v 1608, d. a 1652 |
Relations | Grand-mère à la 10e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-mère à la 9e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Florence GAREMAN, née en 1629 à Bagneux, Ile de France, France.1 Elle épousa François BOUCHER, le fils de Marin BOUCHER et Julienne BARIL, le 3 septembre 1641 à Québec, QC, Canada.1 Elle est décédée vers 1689 à Sillery, QC, Canada.1
Famille | François BOUCHER n. 22 nov 1617, d. v 1675 |
Enfants |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Marin BOUCHER
#8545
Relations | Grand-père à la 11e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-père à la 10e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Marin BOUCHER, né vers 1588 à Mortagne, Perche, France.1 Il épousa Julienne BARIL, la fille de Jean BARIL et Raoulline CRETE (CRESTE), le 7 février 1611 à St-Jean, Perche, France.1 Il est décédé le 25 mars 1671 à Château Richer, QC, Canada.1
Famille | Julienne BARIL n. v 1590, d. 15 déc 1627 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Julienne BARIL
#8546
Père* | Jean BARIL n. v 1565 |
Mère* | Raoulline CRETE (CRESTE) n. v 1570 |
Relations | Grand-mère à la 11e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-mère à la 10e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Julienne BARIL, née vers 1590 à Mortagne, Perche, France.1 Elle épousa Marin BOUCHER le 7 février 1611 à St-Jean, Perche, France.1 Elle est décédée le 15 décembre 1627 à St-Langis-les-Mortagne, Perche, France.1
Famille | Marin BOUCHER n. v 1588, d. 25 mars 1671 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Jean BARIL
#8547
Relations | Grand-père à la 12e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-père à la 11e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Famille | Raoulline CRETE (CRESTE) n. v 1570 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Raoulline CRETE (CRESTE)
#8548
Relations | Grand-mère à la 12e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-mère à la 11e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Famille | Jean BARIL n. v 1565 |
Enfant |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Pierre GAREMAN dit LEPICARD
#8549
Relations | Grand-père à la 11e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-père à la 10e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Pierre GAREMAN dit LEPICARD, né vers 1600 à Bagneux, Ile de France, France.1 Il épousa Madeleine CHARLOT vers 1628 à Bagneux, Ile de France.1
Notes Biographiques: Capturé par les Indiens Iroquois avec son fils Charles le 10 juin 1653, à Cap-Rouge.
Notes Biographiques: Capturé par les Indiens Iroquois avec son fils Charles le 10 juin 1653, à Cap-Rouge.
Famille | Madeleine CHARLOT n. v 1608, d. a 1652 |
Enfants |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).
Madeleine CHARLOT
#8550
Relations | Grand-mère à la 11e génération de Théodore Gilbert Ronald CHENIER Grand-mère à la 10e génération de André Côme Alfred CHENIER |
Madeleine CHARLOT, née vers 1608 à Bagneux, Ile de France, France.1 Elle épousa Pierre GAREMAN dit LEPICARD vers 1628 à Bagneux, Ile de France.1 Elle est décédée avant 1652 à Québec, QC, Canada.1
Famille | Pierre GAREMAN dit LEPICARD n. v 1600 |
Enfants |
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Références
- [S7] Dictionnaire Généalogique des Familles du Québec (Jetté).