Individus, page - 434

     Michel CHADRONNET épousa Joséphine CHABOT.¹

     Joséphine CHABOT épousa Michel CHADRONNET.¹

     Erménégilde ROSSI épousa Thérèse BORDOUZOTTI.¹

     Thérèse BORDOUZOTTI épousa Erménégilde ROSSI.¹

     Napoléon SANSCHAGRIN, né en novembre 1880 à Montréal, QC, Canada.¹ Il a été baptisé le 2 novembre 1880 à Montréal, QC.² Napoléon, (veuf de Clara Boisvert), épousa Elzire CHENAY, la fille de Jean Baptiste CHENE et Marguerite LEGAULT DESLAURIERS, le 3 novembre 1928 à Basilique Notre-Dame, Montréal, QC, Canada.¹

     Maxime PARENT épousa Marie Josephte CHENE, la fille de Charles François CHENE et Josephte LEGAULT DESLAURIERS, le 9 novembre 1857 à St-Hermas, QC, Canada.¹

     André PARENT épousa Marie CONSTANTINE.¹

     Marie CONSTANTINE épousa André PARENT.¹

     Jean Baptiste ST-ONGE épousa Marie Louise CHENAY, la fille de Joseph CHENE et Josephte DESVOYAUX dit LAFRAMBOISE, le 5 octobre 1875 à Notre-Dame, Montréal, QC, Canada.^1,2

     Nicolas ST-ONGE épousa Marcelline LAMERE.¹

     Marcelline LAMERE épousa Nicolas ST-ONGE.¹

     Victor CARTIER épousa Aglaé DOMPIERRE.¹

     Aglaé DOMPIERRE épousa Victor CARTIER.¹

     Olive CHENIER, née le 12 juillet 1872 à Chatham Township, QC, Canada,¹ et a été baptisée le 12 juillet 1872 à St-Philippe-d'Argenteuil, Chatham Township, QC, Canada. Le parrain et la marraine étaient Joseph Houle et Marie Bâne (Beaulne ?)¹ Elle épousa Honoré LACROIX, le fils de Moïse LACROIX et Antoinette LAFRANCE, le 16 juillet 1895 à St-Philippe, QC, Canada.²

     Honoré LACROIX épousa Olive CHENIER, la fille de Charles CHENE et Adel CHARRON, le 16 juillet 1895 à St-Philippe, QC, Canada.¹

     Moïse LACROIX épousa Antoinette LAFRANCE.¹

     Antoinette LAFRANCE épousa Moïse LACROIX.¹

     Zotique, (veuf de Guillemine Dubrule), épousa Philomène CHENAY, la fille de Jean Baptiste CHENE et Marguerite LEGAULT DESLAURIERS, le 28 août 1875 à Notre-Dame, Montréal, QC, Canada.^1,2

     Paul André TRIQUET, né le 2 avril 1910 à Cabano, QC, Canada. Il épousa Alberte Marie Antonia CHENIER, la fille de Osias Joseph CHENIER et Alexina DESJARDINS, le 26 décembre 1932 à Québec, QC, Canada.¹ Il est décédé le 4 août 1980 à Québec, QC, à l'âge de 70.

Croix de Victoria - Seconde Guerre mondiale, 1939-1945
Paul Triquet
Paul Triquet est né à Cabano, au Québec, le 2 avril 1910. À 17 ans, il se joignit au Royal 22e Régiment et en devint le sergent-major régimentaire. En décembre 1943, le capitaine Triquet était commandant de compagnie au sein de son bataillon qui servait en Italie avec la 1re division d’infanterie canadienne.
Le 13 décembre 1943, la 1re division d’infanterie projetta de contourner l’extrémité ouest des défenses allemandes en fonçant vers l’intérieur depuis la mer Adriatique, juste au sud de la petite ville côtière d’Ortona. En contournant la ligne ennemie, la 1re Division espérait ouvrir la voie vers Ortona, son objectif, et capturer la ville. La clé de la réussite du plan était une progression du Royal 22e Régiment vers le nord-est, le long de la route vers Ortona, afin de s’emparer d’un important carrefour routier.
À 10 h 30 le matin du 14 décembre, les compagnies « C » et « D » du Royal 22e, soutenues par les chars de l’Escadron « C » du Ontario Regiment, commencaient à avancer des deux côtés de la route. La force avait déjà rencontré et détruit deux chars allemands. Sur la gauche, à mi-chemin environ du hameau de Casa Berardi, la Compagnie « C » du capitaine Triquet commença à rencontrer une forte résistance des mitrailleuses et de l’infanterie ennemie embusquée dans les bâtiments en ruine et sur un terrain favorable aux défenseurs. Ceux-ci étaient de plus soutenus par des chars et des canons automoteurs. Sur la droite, la Compagnie « D » se perdit et ne participa plus aux combats ce jour-là. La Compagnie « C » et les chars de l’Ontario s’étaient frayé une voie malgré les opposants et élimina trois autres chars ainsi que les positions défensives allemandes. À ce moment, la compagnie était réduite à cinquante hommes et un officier (Triquet). Malgré le manque de munitions, Triquet, ses hommes et les chars qui les soutenaient maintinrent leur attaque, prirent Casa Berardi tard dans l’après-midi et se rendirent près du carrefour. Là, les survivants, maintenant réduits à quinze hommes tout au plus accompagnés de quatre chars, furent arrêtés par des tirs de mortiers et se retirèrent dans Casa Berardi afin de se préparer aux contre-attaques ennemies. Alors que la noirceur tomba, la Compagnie « B » du Royal 22e arriva afin de prêter main forte à Triquet. Aux petites heures du 15 décembre, les deux autres compagnies du bataillon avaient atteint Casa Berardi. Le flanc ouest de la ligne allemande avait été renversé. Pour son leadership courageux et déterminé qui a conduit à la prise et à la conservation de Casa Berardi, le capitaine Triquet se vit décerner la Croix de Victoria.
Triquet s’éteint à Québec, au Québec, le 4 août 1980.
Citation
Pour ses qualités de chef et son exemple remarquable.
La prise du carrefour clé sur la principale voie Ortona-Orsogna repose entièrement sur celle du hameau de Casa Berardi. Or, les Allemands ont transformé cet endroit et un ravin situé en face en des centres de résistance extrêmement bien défendus par l'infanterie et les chars d'assaut.
Le 14 décembre 1943, la compagnie du Royal 22e Régiment du Capitaine Triquet, appuyée par un escadron de régiment blindé canadien, se voit confier la tâche de traverser le ravin et de prendre Casa Berardi. Des difficultés se présentent dès le départ. Le ravin est fort bien gardé et en s'en approchant, la compagnie est attaquée par des rafales de mitrailleuses et de mortiers. Tous les officiers et la moitié des soldats de la compagnie sont tués ou blessés. Faisant preuve d'un superbe mépris envers l'ennemi, le Capitaine Triquet s'affaire à regrouper les survivants et à les encourager en leur disant: « Ne vous occupez pas d'eux; ils ne savent pas tirer. » Enfin, lorsqu'il constate l'infiltration de l'ennemi de tous les côtés, il crie: « Il y a des ennemis devant nous, derrière nous et sur nos flancs. Il ne reste qu'une place sans danger, soit vers l'objectif. » Il se précipite en avant et, avec ses hommes derrière lui, il vient à bout de la résistance de l'ennemi. Au cours de cet assaut, quatre chars sont détruits et plusieurs positions ennemies de mitrailleuses sont réduites au silence.
Luttant contre une défense acharnée et sous un tir nourri, le Capitaine Triquet et sa compagnie, en étroite collaboration avec les chars d'assaut, se frayent un passage jusqu'à ce qu'ils atteignent une position à la lisière de Casa Berardi. À ce stade, l’effectif de la compagnie est réduit à 2 sergents et à 15 soldats. En prévision d'une contre-attaque, le Capitaine Triquet se met rapidement à former, avec sa poignée d'hommes, un périmètre défensif autour des chars d'assaut qui restent, puis fait circuler le mot d'ordre : « Ils ne passeront pas. »
Les Allemands mènent presque immédiatement une contre-attaque appuyée par des chars d'assaut. Ignorant le feu nourri, le Capitaine Triquet est partout à la fois, encourageant ses hommes, dirigeant les opérations et, utilisant tout ce qui lui tombe sous la main, il abat plusieurs soldats ennemis. Cette attaque et les suivantes sont repoussées et se soldent par de lourdes pertes. Contre toute attente, le Capitaine Triquet et son petit groupe tiennent bon jusqu'à ce que le reste du bataillon s'empare de Casa Berardi et leur vienne en aide le lendemain.
Tout au long de cet affrontement, le Capitaine Triquet a fait preuve d'un courage et d'un entrain hors du commun, sous un tir nourri. Partout où la situation est la plus précaire, on peut l'observer en train de lancer des cris d'encouragement à ses hommes et d'organiser la défense. Son mépris absolu du danger, son entrain et son sens du devoir inlassable sont une source d'inspiration intarissable pour ses hommes. Ses talents tactiques et ses qualités de chef leur ont permis, quoique réduits à une simple poignée en raison des pertes, de poursuivre leur marche contre une résistance farouche et de conserver leur avance en dépit de contre-attaques résolues. On lui doit donc la prise de Casa Berardi et l'ouverture de la voie pour l'attaque du carrefour vital.
(London Gazette, no 36408, le 6 mars 1944.)

     Florentin TRIQUET épousa Hélène PELLETIER le 23 août 1905 à St-Mathias, Cabano, QC, Canada.^1,2

     Hélène PELLETIER épousa Florentin TRIQUET le 23 août 1905 à St-Mathias, Cabano, QC, Canada.^1,2

     Marie Reine "Aldéa" CHENIER, née le 10 novembre 1879 à St-Eugène, ON, Canada,^1,2 et a été baptisée le 11 novembre 1879 à St-Eugène-de-Prescott, St-Eugène, ON, Canada.^1,3 Son nom de baptême tel que écrit dans le registre paroissial était Marie Reine CHENIER.¹ Elle épousa François-Xaxier Philémon GRANDMAITRE, le fils de François Xavier GRANDMAITRE et Victorine (Victoire) Elodie BRAULT, le 8 août 1897 à St-Hugues, Sarsfield, ON, Canada.^4,5 Le 8 août 1897, son nom de mariage était Aldéa CHENIER.⁴ Elle est décédée en avril 1928 à Hull, QC, Canada, à l'âge de 48^6,7 et a été inhumée le 12 avril 1928 à Hull, QC.⁸

     François-Xaxier Philémon GRANDMAITRE, né le 25 décembre 1873 à Ottawa, ON, Canada,^1,2 et a été baptisé le 25 décembre 1873 à Notre-Dame Basilica, Ottawa, ON, Canada.¹ Il épousa Marie Reine "Aldéa" CHENIER, la fille de Damase CHENE et Scholastique VIAU, le 8 août 1897 à St-Hugues, Sarsfield, ON, Canada.^3,2 Il est décédé le 25 juin 1957 à Hull, QC, Canada, à l'âge de 83.

     François Xavier GRANDMAITRE épousa Victorine (Victoire) Elodie BRAULT le 4 juillet 1872 à Notre-Dame Basilica, Ottawa, ON, Canada.^1,2

     Victorine (Victoire) Elodie BRAULT épousa François Xavier GRANDMAITRE le 4 juillet 1872 à Notre-Dame Basilica, Ottawa, ON, Canada.^1,2

     Angèlle CHENIER, née le 15 octobre 1840 à L'Orignal, ON, Canada,^1,2 et a été baptisée le 18 octobre 1840 à St-Jean-Baptiste, L'Orignal, ON, Canada. Le parrain et la marraine étaient Charles Roy et Reine Séguin.¹

     Eugène Urgèle MAJEAU, né le 9 novembre 1841 à St-Esprit, QC, Canada. Il épousa Angèle CHENIER, la fille de Louis CHENE et Marie Jeanne Chantal SEGUIN DIT LADEROUTE, le 13 juillet 1863 à St-Grégoire-de-Naziance, Buckingham, QC, Canada.^1,2 MAJEAU et non MAJOR
Si vous regardez le registre de la paroisse de St-Grégoire-de-Naziance, Buckingham, QC, vous verrez que dans ce registre, son nom est orthographié MAJOR. Le prêtre a probablement écrit son nom erroné. Aussi dans le SGO (Société de généalogie de l'Outaouais) leur base de données appelée BMS2000 écrit son nom comme MAJOR. Cela a été perpétuée par l'erreur dans le registre paroissial.
Les 2 sources me semblent être dans l'erreur. J'ai cherché Familysearch.org pour le mariage d'Eugène: St-Grégoire-de-Naziance de Buckingham (1839-1964) l'image 574 de 621) et il épelle son nom comme MAJOR. Une erreur je suis sûr par le prêtre!
Dans le mariage de son père: Salomon à Alice Morin son nom est orthographié comme MAJEAU
Dans le mariage de son père: Jean-Baptiste (Elie) à Marie-Louise Marsan-Lapierre son nom est MAJEAU.

     Salomon MAJEAU épousa Alice MORIN le 27 septembre 1836 à St-Esprit, St-Esprit, QC, Canada.¹

     Alice MORIN épousa Salomon MAJEAU le 27 septembre 1836 à St-Esprit, St-Esprit, QC, Canada.¹

     Jeannine DAIGNAULT, née le 12 mars 1931 à Montréal, QC, Canada.¹ Elle épousa Carleto ROSSI, le fils de Charles Auguste ROSSI et Eléonore Alexina CHENIER, le 24 mai 1950 à Montréal, QC.¹